PARCOURS BUSINESS INTERNATIONAL MEXIQUE

Souveraineté Alimentaire & Durabilité

Immersion à Mexico City du 03 au 07 novembre 2025
*Inscription ouvertes jusqu'au 17 octobre 18h 

CONTEXTE ET CHIFFRES CLÉS



Le secteur agroalimentaire mexicain représente une opportunité stratégique majeure pour les entreprises françaises souhaitant s’'y implanter.  Avec une population de 129 millions d’habitants et plus de 8,9 millions de personnes employées dans l’agroalimentaire, le pays se classe parmi les 15 premières puissances mondiales en production agricole et en industrie alimentaire. 

En 2025, les exportations agroalimentaires ont atteint 54 milliards USD, dont 72 % vers les États-Unis, confirmant le rôle du Mexique comme hub commercial régional. 

Le pays est leader mondial dans plusieurs segments : bière (5,6 Mds USD), tequila et mezcal (3,3 Mds USD), avocat (3 Mds USD). 

L’agriculture biologique y connaît une forte croissance, avec 134 000 hectares certifiés et plus de 38 000 producteurs, dont une majorité de petits agriculteurs. Des grands groupes comme Bimbo, Gruma, La Costeña, Sigma Alimentos ou encore FEMSA & Arca Continental illustrent le dynamisme industriel du pays, offrant des opportunités de partenariat, de distribution ou d’innovation. 

Rejoignez la délégation pour découvrir un marché en pleine transformation, à fort potentiel et définitivement ouvert à la coopération franco-mexicaine et au savoir-faire français !



1er 

Exportateur mondial de tomates, avocats, mangues, asperges, tequila, bière, biscuits sucrés,...

7ème 

Exportateur mondial de produits agricoles

81,7

Milliards USD de commerce agro-industriel total

14

Accords de libre-échange avec 50 pays pour un marché potentiel de 1,3 milliard de consommateurs

LES SECTEURS CONCERNES 

Industrie laitière

Le Mexique présente une demande croissante en produits laitiers transformés et en technologies de production. Les entreprises françaises peuvent apporter leur savoir-faire en matière de qualité, traçabilité et innovation dans les procédés laitiers.

Fruits & légumes

Avec une production abondante mais parfois peu valorisée, le secteur mexicain des fruits et légumes offre des opportunités pour les solutions françaises en matière de conservation, transformation, et logistique post-récolte.

Vitiviniculture

Fort intérêt du Mexique pour les produits haut de gamme. L’expertise française en viticulture, œnologie et équipements spécialisés est particulièrement recherchée.

Emballage

Le secteur agroalimentaire mexicain est en quête de solutions d’emballage durables, innovantes et adaptées à l’export. Les technologies françaises peuvent répondre à ces besoins tout en valorisant les produits locaux.

Smart irrigation

Face aux défis climatiques et à la gestion de l’eau, le Mexique s’ouvre aux technologies d’irrigation intelligente. Les entreprises françaises peuvent proposer des solutions connectées et économes en ressources.

Industries carnées

Le marché mexicain de la viande est dynamique mais confronté à des enjeux de qualité et de traçabilité. L’expertise française en transformation, hygiène et équipements peut y jouer un rôle clé.

Grandes cultures

Le développement des grandes cultures au Mexique nécessite des innovations en semences, fertilisation et mécanisation. Les entreprises françaises peuvent contribuer à une agriculture plus productive et durable.

Machinerie agricole

La modernisation du parc agricole mexicain est en cours. Les fabricants français de machines robustes, précises et adaptées aux conditions locales ont une carte à jouer.

Transformation alimentaire

Le Mexique cherche à valoriser ses productions locales par la transformation. Les technologies françaises en équipements, procédés et sécurité alimentaire sont très attractives.

Infrastructure & logistique

Pour soutenir la croissance du secteur agroalimentaire, le Mexique investit dans ses infrastructures. Les solutions françaises en logistique, chaîne du froid et plateformes de distribution peuvent répondre aux besoins du marché.



Candidatez en ligne grâce au formulaire accessible en cliquant sur le bouton

LES CANDIDATURES SONT OUVERTES JUSQU'AU MERCREDI 8 OCTOBRE 2025 

TARIFS

Prix de vente : 10 000 € HT et une prise en charge par Bpifrance
 de 7 000 € HT pour les start-ups, 6 000 € HT pour les PME et 5000 € HT pour les ETI, pas de prise en charge pour les grands groupes.

Start-up 
Reste à charge 3 000 € HT 

PME 
Reste à charge 4 000 € HT

 ETI
Reste à charge 5 000 € HT

Grands Groupes 
10 000 € HT 

Le coût des prestations inclus : l’atelier de préparation, l’immersion sur zone avec les prestations collectives et individuelles dont les repas inclus dans le programme et l’atelier de suivi. • Sont exclus du coût des prestations : l’hébergement, les transports et autres frais logistiques sur l’ensemble des quatre étapes du programme (préparation, immersion, suivi collectif et individuel). Il est précisé que la prise en charge partielle par l’Etat et/ou des partenaires publics de Bpifrance et/ou Bpifrance d’une partie du coût des prestations constitue une aide d’Etat allouée sur la base du Règlement (UE) N° 2023/2831 de la Commission du 13 décembre 2023 relatif à l’application des articles 107 et 108 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne relatif aux aides de minimis. La prise en charge d’une partie du coût des Parcours Business International de conseil par l’Etat et/ou des partenaires publics de Bpifrance et/ou Bpifrance telle que mentionnée ci-dessus, n’est possible que sous réserve que le montant des aides cumulées (subventions et équivalents subventions perçus au cours de l’exercice fiscal en cours et des deux exercices précédents) ne dépasse pas 300 000 €.  

Tarification filiale
 (pas d'atelier préparatoire car l'entreprise est déjà implantée sur zone)

Dans le cadre de ce Parcours Business International, Bpifrance propose un dispositif et une tarification spécifiques, uniquement à l'attention des entreprises françaises disposant d'une filiale dans le ou les pays cibles du Parcours. Cette offre sur-mesure réservée aux filiales comprend l’immersion sur zone (accompagnement pour la mise en relation avec l'écosystème local et l’organisation de rendez-vous B2B) ainsi qu'un suivi personnalisé en digital des courants d’affaires initiés sur zone (comportant jusqu'à trois entretiens individualisés selon les besoins de l’entreprise). Le prix global de cette prestation avant la prise en charge de Bpifrance s’élève à  6 000 € HT. Le reste à charge pour l’entreprise est déterminé selon la forme juridique et la taille de la société mère. ​​Ainsi, le reste à charge est : ​ Pour les « start-up », de 2 500 € HT (après la prise en charge de 3 500 € HT par Bpifrance). ​ Pour les PME, de 3 500 € HT (après la prise en charge de 2 500 € HT par Bpifrance).​ Pour les ETI, de 4 500 € HT (après la prise de 1 500 € HT par Bpifrance).​ Pour les Grands Groupes, de 6 000 € HT (pas de prise en charge Bpifrance). ​​



L'ensemble des critères d'éligibilité et des conditions sont uniformément appliqués et pour pouvoir bénéficier de ce dispositif sur-mesure, les conditions sont les suivantes : ​La société mère doit avoir une filiale depuis trois ans minimums sur le ou les pays concernés par le Parcours Business International. Le participant au Parcours Business International (immersion et suivi personnalisé) doit être le représentant légal de la filiale. La facturation de la prestation sera faite auprès de la société mère basée en France.​ • Il est ici précisé que la prise en charge partielle par l’Etat et/ou des partenaires publics de Bpifrance et/ou Bpifrance d’une partie du coût des prestations constitue une aide d’Etat allouée sur la base du Règlement (UE) N° 2023/2831 de la Commission du 13 décembre 2023, qui remplace le Règlement (UE) N°1407/2013 de la Commission du 18 décembre 2013 relatif à l’application des articles 107 et 108 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne relatif aux aides de minimis. • La prise en charge d’une partie du coût des Parcours Business International de conseil par l’Etat et/ou des partenaires publics de Bpifrance et/ou Bpifrance, telle que mentionnée ci-dessus, n’est possible que sous réserve que le montant des aides cumulées (subventions et équivalents subventions perçus au cours de l’exercice fiscal en cours et des deux exercices précédents) ne dépasse pas 300 000 €.